Il n’est bien sûr pas surprenant que nous nous concentrions principalement sur la conduite électrique dans nos blogs. Les voitures électriques (et puis bien sûr surtout les solutions de recharge intelligentes qui vont avec) c’est notre métier et, franchement, pour la plupart de nos collaborateurs aussi une vraie passion.
Mais il est clair que le monde de l’électrique et du développement durable est plus large que la voiture électrique et le vélo électrique. La nécessité de rechercher des solutions durables et électriques à plus grande échelle n’a jamais été aussi évidente que l’année dernière.
Et s’il est une industrie où la durabilité doit être une priorité absolue, c’est bien le trafic aérien. C’est pourquoi dans le blog d’aujourd’hui, nous nous écartons de notre cœur, mais regardons un autre type de mobilité – le vol électrique.

Plus durable, plus propre, plus silencieux

De nombreux ingénieurs travaillent depuis des années sur des solutions pour le vol électrique. Il n’est pas surprenant que la route vers une solution réalisable pour le trafic aérien de passagers ne soit ni facile ni longue. Là où il y a des années, les chances de succès du vol électrique étaient considérées comme une utopie, nous sommes actuellement sur un plan complètement différent.
Après tout, pas les moindres noms travaillent sur une solution à l’échelle mondiale. Airbus, Rolls-Royce et Honda travaillent chacun sur leurs modèles d’avions électriques. Mais la NASA apporte également une contribution importante et travaille sur un biplace (actuellement) qui sera utilisé pour des vols d’essai l’année prochaine.

Le vol doit être plus propre et plus durable. Le vol électrique pourrait être un grand pas dans cette direction, mais pour le moment, le tout électrique est encore loin de nous pour le trafic aérien de passagers. La solution hybride, comme on le voit aussi dans le trafic automobile, est un premier pas en avant déjà plus prometteur.

Les défis

Le poids est important dans les voitures électriques. C’est beaucoup plus vrai dans un avion. Et c’est là que réside le plus grand défi (et la limitation, pour le moment) pour le vol électrique. L’alimentation des avions de niveau Boeing-737 nécessite des batteries de la taille d’un autre avion et encore plus lourdes que l’avion lui-même.
La batterie du futur pour le trafic aérien doit donc être plus petite, plus légère ET sans contenu liquide. Dans le monde entier (également aux Pays-Bas) des travaux sont donc en cours depuis des années sur CETTE question en particulier.
Jusqu’à ce que cette percée soit un fait, les solutions plus durables sont donc hybrides ; une combinaison de carburant et de batteries.
L’autonomie est bien sûr également importante, comme l’autonomie d’une voiture électrique. Atteindre une certaine vitesse pour un temps de vol plus long est nécessaire pour vraiment rendre de longues distances possibles. Et faire des distances est si important pour voler.

Retour à la conduite électrique

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